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Plume & Pendule 2016/2017

Photo du rédacteur: Michèle DevernayMichèle Devernay

Prenez votre montre à gousset, réglez une année avec vos aiguilles, posez-la près de votre écritoire et… il est temps de démarrer et finir un manuscrit sur un temps donné !


Crédits image : João Pedro de Almeida

L’idée est née sur l'Allée des Conteurs l'année dernière. Elle a été reconduite pour 2016/2017 avec quelques petits aménagements, et comme vous allez le constater, elle est toute simple. Il s'agit, à la base, de terminer un manuscrit en une année, mettant ainsi un point final à un projet d'écriture pour remporter le défi. Formidable ! Et cette histoire de pendule, qu'est-ce que c'est ?


Et bien le pendule, c'est votre binôme, puisque l'inscription s'opère théoriquement par paire. Il est censé vous soutenir durant toute la durée du challenge, lire votre production et vous donner son ressenti. Vous lui devez la pareille, évidemment. Cette année, le challenge Plume & Pendule se déroule du 01/09/16 au 31/08/17. Plusieurs possibilités s'offrent à vous :

  • vous inscrire avec un ou deux projets de roman (total de 80000 mots),

  • vous inscrire avec un projet de recueil de nouvelles (total de 40000 mots),

  • vous inscrire avec un projet de roman et un de nouvelle (total de 80000 mots).

Vous l'aurez deviné, bien sûr, je me suis inscrite avec un projet de nouvelles, dont l'objectif principal est de terminer 3 nouvelles en une année, en comptant Le Chant des Ombres et Nouvelle Atlantide (titre provisoire). Accessoirement, si le palier des 40000 mots n'est pas atteint à l'issue de cet objectif principal, je me réserve le droit, en guise d'objectif facultatif, d'en écrire 1 ou 2 supplémentaires.


Parlons de ma pendule, à présent ! Il s'agit de C. Sizel, brillant auteur des fictions Orion et Traces du passé, toutes deux disponibles sur l'Allée. Elle a choisi d'écrire sur chacun de ces deux romans (80000 mots), dans l'objectif de terminer le premier jet du second tome d'Orion, et les quatre parties encore manquantes à Traces du passé.


Souhaitez-nous bonne chance, on va en avoir besoin !

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